Michel Weber expert comptable,
grand passionné de pêche et de crossfitParallèlement à son activité d’enseignant formateur, il travaille dans des cabinets d’expertise locaux, avant de rejoindre le groupe Calan Ramolino à Strasbourg, dont l’activité était essentiellement la mission légale de Commissaire aux Comptes. En 1997, soit seulement 2 ans après l’obtention de son diplôme d’expertise comptable, il intègre la Fiduciaire du Bas-Rhin, devenue Fiduest par la suite, un groupe de conseil renommé. Aujourd’hui, il est co-gérant et associé du groupe, et il accompagne au quotidien les professions libérales, les TPE et les PME.
A l’origine, Michel Weber est un expert-comptable et commissaire aux comptes, mais c’est aussi un grand passionné de pêche en lac et étangs, et de Crossfit. Découverte !
Qui est Michel Weber ?
Membre du groupe Fiduest, depuis plus d’une vingtaine d’années, Michel Weber accompagne au quotidien les entreprises alsaciennes et les fait profiter de son savoir-faire. Expert-comptable et commissaire aux comptes, il met à disposition de ses clients son expertise du domaine dans le but de développer leur activité. Issu d’un Bac G3 Technique Commerciale, il intègre une Prépa Haute Ecole de commerce à Strasbourg, où il obtient son diplôme d’Expertise Comptable en 1995. Il entame alors, pendant 10 ans, une carrière de formateur animateur au profit de nombreux établissements d’enseignement supérieur (la Chambre des Métiers section Brevet de Maîtrise, l’Institut de Formation des Comptables Européen, l’Académie des Métiers de la Gestion de et de l’Economie, le Centre Europe, …).
Michel Weber, c’est 20 ans d’expertise et de travail au plus proche des entreprises clientes. Sa principale force : l’écoute des attentes de ses clients, couplée à une capacité d’adaptation à leurs projets afin de proposer des prestations personnalisées qui prennent en compte leurs objectifs et leurs valeurs. Par ailleurs, il considère que la confiance est la base du métier d’expert-comptable, ce qui le pousse à accorder une attention particulière à la mise en place d’une relation de proximité avec les entreprises, dans le but de les aider à développer leur projet et optimiser leur performances. En ce sens, chaque client du groupe Fiduest bénéficie du plus haut degré de confidentialité et d’intégrité.
Sur un tout autre registre, et au-delà de son expertise métier, M. Weber est un grand passionné de pêche en lac et étang, en plus du Crossfit, qu’il pratique régulièrement. Justement, il vous en parle…
Comment pêcher
dans les étangs et les lacs ?
Il va sans dire qu’il est très utile de connaître vos lieux de pêche. Cela aide à maximiser vos chances de prise ! Vous pouvez généralement obtenir toutes les informations que vous souhaitez auprès de n’importe quel marchand de matériel de pêche à proximité de votre lieu de pêche préféré, d’un résident local ou de tout autre pêcheur qui connaît la région.
Une fois arrivé au lac ou à l’étang où vous allez pêcher, déployez votre stratégie. S’il vous est possible de pêcher sur un bateau, n’hésitez surtout pas. Cette option est beaucoup plus avantageuse que la pêche depuis le rivage. Vous pouvez empiler tout votre équipement dans le bateau, puis vous déplacer à votre convenance à la recherche des endroits les plus susceptibles d’abriter des poissons et tenter votre chance. De plus, vous pouvez facilement vous rendre à distance de lancer des nénuphars et des herbiers que vous ne pouvez pas approcher du rivage.
Sélectionnez votre emplacement, puis montez votre matériel. Vous pouvez utiliser pratiquement n’importe quel type de tacle, même une ligne à main. Certains pêcheurs utilisent une canne à mouche, équipée dans ce cas d’un moulinet et d’une ligne de lancer d’appât. D’autres utilisent une canne à mouche et un moulinet, avec une ancienne ligne de mouche. N’utilisez pas une nouvelle ligne pour pêcher à l’ancrage, car elle sera gorgée d’eau.
Quelle que soit la tenue avec laquelle vous pêchez, vous devez utiliser un flotteur. Celui-ci peut être en liège, en bois de balsa, en plume de porc-épic ou en plastique creux et est censé flotter. Il est attaché au-dessus de l’hameçon appâté, l’endroit exact en fonction de la profondeur à laquelle vous allez pêcher. Si vous voulez que votre appât descende profondément, fixez un petit plomb à votre ligne et laissez-le tomber dans l’eau jusqu’à ce qu’il touche le fond. Soulevez-le sur une trentaine de centimètres et fixez le flotteur à ce point. Décrochez la ligne, retirez le lest et fixez un crochet à la fin de votre ligne.
La pêche à la traîne consiste à pêcher à partir d’un bateau qui se déplace lentement. Le leurre ou l’appât est traîné à l’arrière du bateau, à une distance de quinze à vingt mètres. La meilleure façon de pêcher à la traîne est de s’asseoir face à la poupe du bateau pendant que quelqu’un rame. Tenez la tige de sorte que la pointe soit à un angle d’environ 45 degrés. Si vous êtes seul et que vous devez ramer, voici la façon de le faire. Placez votre canne à l’arrière de sorte que la pointe dépasse du bord arrière du bateau. Réglez le mécanisme de clic sur la bobine pour empêcher la ligne de se détacher pendant que le bateau se déplace. Si la tige se plie soudainement, arrêtez immédiatement d’aviron, saisissez la tige et fixez le crochet. Ne tirez pas de toutes vos forces – vous pourriez être collé rapidement à une obstruction sous-marine.
La pêche au moulinet consiste à lancer la ligne et à la récupérer à plusieurs reprises, l’idée étant de prendre le poisson pendant que votre leurre est en mouvement. Vous pouvez utiliser n’importe quel appât utilisé pour la pêche à la traîne, mais la méthode sera un peu différente. La pêche à la traîne déplace l’appât à une vitesse constante, alors que la pêche au moulinet vous donne une chance d’introduire une certaine variété dans la manière dont l’appât est présenté au poisson.
Les débutants semblent penser que la chance est le facteur le plus important pour déterminer qui attrape le poisson. Parfois, deux personnes jetteront côte à côte; une attrapera un poisson et l’autre non. Mais ne vous y méprenez pas : la chance peut jouer un rôle dans l’action, mais le « savoir-faire » est plus important.
Qu’est-ce que le Crossfit ?
Tout le monde a entendu parler de Crossfit. Vos amis en parlent sur Facebook, des publicités sur la discipline pullulent sur Instagram, tous les magasins de fitness incluent une grande section de vêtements et de chaussures Crossfit… Mais sait-on vraiment en quoi consiste cette discipline apparue aux Etats-Unis avant de s’étendre au reste du monde ? Si vous vous posez cette question, vous êtes au bon endroit. Michel Weber passionné de ce sport vous dit tout sur le Crossfit !

Histoire du Crossfit
Abréviation de Cross Fitness (entrainement croisé), le Crossfit est apparue à la fin des années 1960 et au début des années 1970 aux Etats-Unis. C’est Greg Glassman, gymnaste universitaire qui, en compagnie de sa femme d’alors Lauren Glassman, invente le Crossfit dans son garage ! Vous avez bien lu, c’est dans le garage de leur résidence, transformé en salle d’entrainement, que le couple Glassman a mis au point les principes de base du Crossfit.
Comme le dit Michel Weber expert comptable chez Fiduest à Strasbourg, les Glassman ont bien réussi leur coup puisqu’aujourd’hui le Crossfit est une licence valant énormément d’argent !

Les avantages du Crossfit
Ce n’est pas par hasard que le Crossfit compte autant d’adeptes à travers le monde (plus de 200 000 disciples rien qu’en France dont plusieurs salles de Crossfit dans le 67) : à travers un cycle de séances d’entrainement intenses, vous pourrez grandement améliorer votre condition physique en très peu de temps. Au-delà de la pratique sportive, le Crossfit est un véritable style de vie, bâti autour d’une communauté. On s’explique : les salles de Crossfit sont appelées « box ». C’est là où prennent place les entrainements, sous forme de séances intenses basées sur le collectif afin de favoriser le dépassement de soi et c’est ce qui plaît à monsieur Michel Weber. Grâce à cet esprit d’entraide et de camaraderie, la motivation des pratiquants de la discipline s’en trouve décuplée, ce qui facilite l’atteinte des objectifs fitness des uns et des autres.
Dans les box Crossfit, exit les rameurs, vélos d’appartement et autres équipement classiques de fitness. Place aux haltères, poids, barres de traction et autres pneus de camions et sacs de sables… La séance d’entrainement est rebaptisée « WOD », pour workout of the day (entrainement du jour) et inclut une palette de 52 exercices variés. Le principe du WOD est simple : une séance à très haute intensité et un temps de récupération minime.
Résultats : des calories brûlées à la vitesse de l’éclair !